The Green Eyes
Avec Camille, on a beaucoup de points communs. On aime les belles choses, celles qui sont bien faites et qui tiennent longtemps, les matières naturelles et la déco un poil rétro. Et comme on n’aime ni l’obsolescence, ni les programmes, on vous dit pas pour l’obsolescence programmée…
Ou plutôt si, on vous dit.
Notre « do & think-tank » de circonstance s’étant réuni autour d’un verre (Duralex…what else ?) voici le fruit de nos cogitations: l’obsolescence programmée commence, c’est bien connu, par:
– Le produit conçu exprès pour ne pas être trop résistant.
– Le produit conçu pour que la réparation ou l’entretien soient quasi-impossibles.
Mais c’est aussi, plus insidieusement:
– Le produit « mode » conçu pour surfer sur un buzz aussi artificiel qu’éphémère, bref le produit avec lequel « ça lasse et ça casse ».
– le produit qui use et abuse de l’alibi du « recyclage ». Votre dernière babiole est « recyclable »? Alors allons-y gaiement, un petit tour à la déchetterie, et hop, vous voilà absout de tout péché de gaspillage…
Donc par opposition, les produits anti obsolescence programmée, ce sont les produits qui sont robustes, simples de conception, réparables facilement, et intemporels.
The Green Eyes passe donc à l’action, et nous livre ici sa vision de « l’obsolescence déprogrammée » dans la maison : mise en scène de Camille Cian, fournitures Landmade.
Le lin, cette plante presque aussi résistantes que certains acier et de la vaisselle en grès simple, utile et intemporelle. (faut-il vraiment mentionner les verres Duralex ?)
Des outils forgés au bore, c’est garanti à vie !
Si vous aussi vous aimez l’esprit « retro-jungle » de Camille, on vous invite à aller voir les scénographies ainsi que l’article complet sur The Green Eyes